Mon histoire ne commence pas par « Il était une fois … » et elle n’a pas de fin heureuse, même si la fin n’est pas encore arrivée. Il y aura-t-il une fin d’ailleurs ? Je me le demande bien.
On est en pleine année scolaire, j’ai intégré l’équipe d’intervention Sabaki et je suis à leur tête, en outre je commande cette équipe. Quand j’y pense, intérieurement j’en ris, car à la base je n’avais pas accepté l’offre que m’avait faites le Directeur qui se dit être mon père.
Il y a quatre autres personnes dans l’équipe, tous aussi doué les uns que les autres. Seulement, je ne les aime pas. Enfin ce n’est pas que je ne les aime pas, c’est simplement que je veux être le moins possible en leur compagnie.
Si je fais partie de Sabaki, c’est pour un seul et unique but, savoir d’où je viens, et retrouver mes souvenirs perdus.
Mais l’heure n’est pas à cette partie de l’histoire, je me suis levée tôt ce matin pour aller en cours, enfin plutôt les cours particuliers que je suis obligée de suivre, car mon soit disant père, ne veut pas m’intégrer aux classes avec les autres étudiants. Je ne sais pas pourquoi il veut ça, il n’a jamais voulu m’en préciser la raison.
Bref, encore une journée ordinaire dont je me passerais bien. Non pas que je sois une mauvaise élève, j’ai parmi les meilleures notes de toute l’académie, j’excelle dans toutes les matières mais je suis loin de vouloir m’en vanter.

Je passe le grand portail qui détermine la limite, la frontière entre la ville et l’académie. Comme d’habitude, tous les regards se portent sur moi, ils sont tous en admiration envers moi. J’entends certains et même certaines dire que suis magnifique et élégante. Que j’ai une prestance éblouissante.
Mais je ne suis pas comme ça, c’est eux et eux seul qui pensent ça.
Des élèves me disent bonjour en m’appelant Sempai. Je leur réponds car je suis tout de même poli, mais moi-même je ne veux pas qu’on m’appelle ainsi. Personne n’est jamais venu me parler en face, ils sont en admiration, me respecte mais n’osent pas m’aborder.
C’est pour ça que je n’ai jamais eu d’amis. Je pourrais très bien aborder de mon propre chef, mais à quoi bon, ils pensent tous également que je vaux mieux qu’eux alors c’est inutile. Ils se rabaissent tellement, que ça en est pitoyable.
De toute façon, j’aime bien être seule ça me permet de penser tranquillement, de réfléchir.
Je continue de marcher, répondant à leur bonjour avec le sourire.

Je m’arrête soudainement, une fille est devant moi me tendant une lettre. Je sais ce que c’est, mais c’est bien la première fois que quelqu’un ose me donner une lettre d’amour en face. Elle ne dit pas plus de mots que « prenez cette lettre s’il vous plait Hinamori-sempai ». Je la prends et elle s’en va.
J’en reçois tous les jours de ces lettres, de la part de garçons et aussi des filles. Je ne les compte même plus tellement j’en ai. Cela ne m’intéresse pas plus que ça, mais je les lis tout de même.
Pour celle que cette fille vient de me donner, je la lierais tranquillement dans un coin tranquille, nul besoin d’être devant tout le monde.
Je continue d’avancer et me dirige finalement vers un endroit approprié pour la lecture de cette lettre. Mon cours ne commence pas de suite, alors je peux me permettre.
Je m’assois sur un banc et j’ouvre l’enveloppe qui s’en au passage très bon, sûrement le parfum de la fille qui m’a donné la lettre.
Je commence la lecture de la lettre …

« Chère Hinamori-sempai, cela fait longtemps que je vous admire, que je vous aime. Je voulais vous faire part de mes sentiments, mais je n’attends pas de réponse de votre part. je voulais seulement que vous le sachiez. Vous êtes tellement belle et élégante, j’aimerais être comme vous, mais je sais que ça m’est impossible. Je m’appelle Hikari et je suis en 2è année dans la classe 3-B. Je sais c’est contradictoire de vous dire que je n’attends pas de réponse de votre part et de vous dire dans quelle classe je suis ainsi que mon nom, mais vous savez ainsi qui vous adresse cette lettre. Soyez … »

Je n’eu pas le temps de terminer la lecture, une voix s’adresse à moi et ce son qui raisonne dans ma tête encore une fois. Cette sensation étrange que j’ai à chaque fois que … oui c’est bien ça en relevant la tête, je vois un homme qui ne semble pas être amical du tout.
Je range la lettre dans mon cartable et je le pose sur le banc avant de me lever. Je croise mes bras.

- « Que me veux-tu ? Tu es un étudiant de cette académie ? Mais je pense que non, vu que tu ne portes par l’uniforme et aussi à cause de ton âge qui n’est pas du tout celui d’un lycéen. »
- « Non c’est vrai je ne suis pas de l’académie, je suis là pour te donner une bonne leçon. Je sais que tu fais partie de Sabaki. »

Je ferme les yeux et souris et je plonge ma main dans ma poche. J’en ressors une pièce métallique, de la taille d’une pièce de monnaie. Je la tiens du bout des doigts et je la montre à l’homme se tenant en face de moi.

- « Tu vois cette pièce de métal ? C’est le seul souvenir matériel que j’ai de l’époque d’avant mes cinq ans. »
- « Je n’en ai rien à fa… »
- « Mais peu importe, ce qui importe c’est ce à quoi elle me sert cette pièce. Elle est étonnante. »
- « Arrête de me parler de ça et bats-toi, sinon … »
- « Sinon quoi ? Tu vas me faire mal ? Laisse moi finir, cette pièce est étonnante lorsque je l’utilise. »

Je regarde l’homme dans les yeux avec un regard déterminé et non amical.

- « Si tu ne souhaites pas finir en gruyère, je te conseil de laisser tomber maintenant et de te rendre immédiatement. Si tu ne suis pas mon conseil et bien … et bien tant pis pour toi, je t’aurais prévenus. »
- « Laisse moi rire, je suis certains que je vais te ba … a … a … »

L’homme s’écroule au sol, je me dirige vers lui et me baisse. Je ramasse ma pièce qui est collé sur son front.

- « Tu en as de la chance, j’y suis allée doucement… »

Je retourne vers le banc et sors de mon cartable mon portable et j’appelle le Keisatsu.

- « Je viens de neutraliser un homme dangereux, venez le récupérer à l’académie Seyio. Je vous attendrais près du corps, je suis près du bâtiment Hoshi. »

Je n’avais pas envie de le questionner, de toute façon il n’avait pas l’air d’être quelqu’un de très coopératif. Je me rassois sur le banc et attend l’arrivée du Keisatsu. C’est là que je vois arriver une personne …

Une autre fraîche journée éclaira les cieux de l'académie Seiyo. En ce temps, on levait la tête vers les nuages et on respirait l'air pur du matin. Alors, on pensait à ce qui pouvait pousser le ciel à nous offrir son soleil et sa chaleur. Non, oubliez la science derrière le phénomène, pensez à vous-mêmes à cet instant. Les personnes ne voyant pas la beauté du jour continuait leur vie habituelle et pouvait se mettre dans toutes sortes de situation. Peut-être même désagréable, ruinant leur journée par la même occasion. Dans le contraire, c'était le signe d'un jour routinier mais ô combien comblé de bonheur et de moment précieux avec ses amis. Pour Elia Irihi, c'était le début d'une nouvelle état dans sa vie d'étudiante et de femme dans la société.

Aujourd'hui était le jour après sa convocation au bureau du directeur. Elia devint membre en règle du groupe d'espers le plus puissant que l'académie et le pays en entier aient jamais vus. Après tout, faire équipe avec quatre autres espers de niveau 6 n'était pas rien. Cet évènement suscita l'attention des fans partout sur le campus. Elia trouvait cet intérêt des étudiants un peu trop exacerbés. En revanche, elle se sentait reconnue et aimée par plusieurs supporteurs et supportrices. Elle se sentit gonflée à bloc, une joie perceptible sur son visage.

En compagnie d'un petit groupe d'étudiantes, Elia franchit le grand portail avec sa chemise mauve complètement ouverte et une paire de lunette de soleil. Les filles discutaient avec un éclat sur chaque visage, à l'aise avec le charisme de la niveau 6 à proximité. Une fille de niveau 2 lança soudainement un compliment à Elia, affirmant que cette dernière était d'une beauté davantage éclatante que d'habitude. La puissante esper se retourna, cartable en main set e balançant au gré du vent derrière son omoplate. Elle se rapprocha de la demoiselle et lui donna une bise sur la joue. Le comble ! Elles rougissèrent etpoussèrent toutes les cris d'une forte émotion amoureuse. Et après un chuchottement, un petit merci, Elia se sépara du groupe.

Seule, elle se faufila en douce proche du bâtiment Hoshi. Ce n'était pas dans son intention de laisser une si bonne compagnie derrière et séduite par son approche osée envers une étudiante. Mais avant de rejoindre les autres en classe, elle avait quelque chose à faire en privé. Pas si privé que ça quand elle entendit la voix d'un homme agressif à quelques mètres de sa position. Le soupir ne tarda pas, ni la réaction. Plus loin, elle observa discrètement cette fille qui maîtrisa aisément le suspect avec une simple pièce monnaie et une assurance supérieure. Avec l'uniforme scolaire et la chevelure blonde de la demoiselle, Elia reconnut sa "leader" Amu Hinamori. Le directeur lui avait parlé de sa fille et de son manque de compatibilité sociale avec les individus. Ce regard dans ses yeux manquaient d'entrain, de vivacité. Elia attendit la fin de l'appel de Amu et alla dans sa direction.

- Quel maîtrise, Taichou ! Je ne m'attendais pas moins de quelqu'un avec un tel sang froid.

Étant donné son rang d'esper niveau 6, Elia s'attendait à ce que Hinamori la reconnaisse assez bien. Mais ce fut le type dangereux qui ouvrit la bouche en premier en balbutiant de peur:

- Hiken... no... Elia ?

Il ne s'attendait pas à se frotter à deux femmes de niveau 6 dans la même journée. Sans aucune chance de réussir sa petite aggression, il voulut fuir lloin de ces deux démones. Avant de faire le pas qui démarrerait sa fuite, Elia prit le poignet du type. De la fumée et bruit de cuisson émana de cet endroit tandis que le suspect se crispa de douleur et retomba au sol. Elia relâcha le poignet brunit.

- Et contrairement au Taichou, mes méthodes sont plus...épicées. Je te conseille donc de ne plus bouger d'un pouce. Compris ?

Comme le capitaine restait silencieuse face à l'intervention de sa nouvelle équipière, celle-ci termina de neutraliser l'homme. Comme une policière elle le plaqua à plat ventre sur le sol et plaçant les mains jointes derrière la tête. Malgré le manque de menottes, il avait tout intérêt à rester tranquille jusqu'à l'arrivé des agents de la paix. Elia put donc le laisser là et se retourner vers une Hinamori indifférente. Cheveux blonds lui fit savoir l'inutilité de son geste en ajoutant un "Bravo" pour sarcasme. Voilà une réponse plutôt inconvenante et sans bonté. Amu Hinamori avait visiblement un problème de cordialité même avec ses paires. Elia l'observa de son air passif naturel en ne semblant point affectée ces mots. Ses doigts relevèrent ses lunettes de soleil pour laisser place à son regard de feu.

- Ne te méprend pas, Taichou ! Je voulais juste te rencontrer en chair et en os.

L'esper de feu rangea sa paire de lunettes dans sa poche. Ses sourcils se fronçèrent soudainement. Hinamori continua d'être froide dans son discours. Pire encore fut le fait de ne pas avoir d'enthousiasme à l'idée de diriger le groupe d'élite dont elle était supposée jouer le rôle de capitaine. Il y avait de quoi se sentir mécontent. Elia s'assoya à côté de Hinamori et posa sa main sur la poitrine de la blonde. En faisant preuve de prudence, elle produit une chaleur réconfortante au niveau du coeur. Son capitaine revint à la réalité sous le coup du stimulis.

- Tu as du sang froid, mais cet endroit de ton corps manque de chaleur, de passion humaine. Tu ne crois pas ?

Bien que l'esprit soit en place, Taichou ne semblait pas s'intéresser à la question de l'esper de feu. Non, ce n'était une parfaite indifférence de sa part. Seulement, elle était attirée par quelque chose d'invisible et mystérieux. La main sur le coeur de son taichou, Elia ne comprenait pas cette attitude. Et quand Hinamori sembla tomber dans les pommes, elle lâcha son cartable et prit sa tête de sa seule main valide. Ce moment imprévisible donna à Elia une image insoupçonnée de cet être à la chevelure blonde. La voir paisible comme une ange et dans cette pose Kawaï grava dans l'esprit de l'esper une émotion sans nom. Chose certaine, l'émotion la rendait ardente.

En relâchant sa main de la poitrine, et par le fait même sa concentration, Elia entendit une douce et envoûtante mélodie. Puis, ce fut le déclic, un petit cri de surprise et une vive réaction similaire à se faire piquer aux fesses par un clou. Elle fouilla chaotiquement dans son cartable pour en ressortir l'origine du son: son portable.

- Allô ? Elia à l'écoute.

- Enfin tu me réponds. Que faisais-tu Elia-chan ?

- Gomen gomen, maman. Je parlais avec mon Taichou. J'ai complètement oublié de t'appeller plus tôt.

Elles s'échangèrent quelques mots en terminant leur conversation au bout de quelques secondes. Son portable retrouva sa place dans le cartable et Elia se retourna vers Hinamori avec une légère gêne.

- Oui...je suis venue à côté du bâtiment Hoshi pour téléphoner à ma mère. Je ne pensais pas zapper cet appel aussi facilement.

Le cas de Hinamori n'était en rien un cas isolé parmi les étudiants et les citoyens eux-mêmes. Quand quelqu'un comme Elia écouta les explications de l'esper blonde et qu'elle pensa à comment les différents partis vivaient selon un ordre mondial existant depuis des millénaires, tout devenait clair. Le capitaine du groupe Sabaki n'avait rien de mal en soi. Son caractère est l'un des symptômes du problème. En un mot: Hiérarchie. Un constat rapide et très efficace montrait la séparation des groupes humains comme la cause de ce pont brisé entre eux. Parce que le Taichou et Elia étaient du côté des riches, de l'élite économique et guerrière, ont les vénéraient comme des déesses. Simple complexe d'infériorité qui creusait des fossés. Pourtant, les règles ont changés avec le temps. L'esper du feu avait des fans et elle fréquentait parfois ces groupes comme si elle avait toujours été une humaine de niveau 0.

Pour une raison personnelle, Hinamori n'avait pas eu la même chance. Quelque chose d’autre bloquait. Elia ne le savait pas encore puisque sa camarade ne dit pas un mot dessus. Le silence s'installa, un vent frais du sud caressa le visage compatissant et le visage songeur. Une pause durant laquelle Elia replit place à côté de la jolie blonde et sortit une lolipop d'une poche de pantalon. Elle le suça un peu en regardant le ciel dégagé et ce soleil radieux la gardant au chaud. Effectivement, c'était une journée trop belle pour être triste. Sa main tapa amicalement l'épaule du capitaine.

- J'en ai rien à faire des rumeurs sur ton sujet. Il y en a parce que tout est possible avec un niveau 6. Moi, je me fis qu'à ce que je vois. Et tu sais quoi ? Je pense que Taichou est simplement timide ou en manque de confiance.

Au loin, le son d'une sirène de police retentit. Il a fallut cinq longues minutes pour que les policiers arrivent alors qu'un esper a prit moins de dix secondes pour neutraliser un voyou. La différence était flagrante. En revanche, les deux espers purent apprendre à mieux se connaître avant même une rencontre officielle entre les cinq membres réunis. Quand elle crut voir une silouhette au loin, Elia offrit son lolipop à Hinamori et lui offra comme mot d'encouragement:

- Vas-y, essaie de faire un effort en parlant à l'agent.

Sans vouloir en particulier un compliment quelconque, Elia se fit remercier pour son intervention morale. En se grattant la nuque avec une expression embarrassée, sa réponse fut:

- Vous seriez surprise de savoir que je ne suis pas à Seiyo pour devenir psychologue. N'empêche qu'une petite thérapie maison ne fait jamais de mal quand c'est nécessaire.

En offrant son lolipop rouge à la fraise, Elia voulait par ce geste tisser un premier lien entre les deux demoiselles. Un point majeur et tournant pour l'avenir de la personne qui devra la conduire au combat contre les espers ennemis cherchant la corruption et la destruction de la population humaine. En se plaçant à l'écart de Hinamori qui discuta avec une agente, Elia retrouva son air calme, décontractée et passif. L'idée de faire un faux pas lui démangeait l'esprit. Car il suffirait d'un incident pour que la demoiselle blonde souffre plus qu'elle ne le devrait en s'ouvrant enfin le coeur. Et par incident qui emmène de grosses conséquences néfastes, Elia en était familière.

Hinamori discuta brièvement avec l'agente du Keisatsu sans changer son niveau de lange et ni son ton de voix. Par contre, tout se termina avec un sourire sortit de nulle part qui étonna les témoins de la scène. Non seulement ça mais aussi le lolipop à présent dans le bouche tu capitaine. Elia ne comptait pas ce geste comme un vrai baiser indirect mais comme le début d'un lien durable entre deux grandes espers. Pourquoi cela serait autrement ? Oui certes, elle avait souri intéreurement en voyant sa propre friandise rouler sur le langue de Hinamori mais...euh...on restera là pour le moment.

Les cloches de l'Académie sonnèrent en annonçant le début des cours. Elia savait que son retard en cours serait inéluctable...surtout quand il y avait du E.P le matin avec tenue de sport obligatoire. Notre esper se pressa de donner une bise à la joue d'Hinamori.

- Ravie de t'avoir rencontrée, Taichou. Portez-vous bien. Et surtout, n'hésite pas pour venir me voir en cas de pépin.

Un salut de la main plus tard, la demoiselle de feu fit un sprint jusqu'au vestiaire pour se changer. Autre chose la tracassa entre-temps. L'homme de tout à l'heure souriait une fois embarqué par l'agente. Cela pouvait signfier le début de quelque chose de menaçant.

La jeune femme ce réveille , elle se relève et je fais de même , elle m'affirme qu'elle ne dormais pas et qu'elle était sûrement un peux fatiguée donc , ce qui l'aurait fait tombé dans les vapes , enfin bref ... Nerveuse , je commence a sortir tous ce qui me passe par la tête :

-"Eh...Je ne connais pas l'école , je suis désolée de ne pas avoir pu faire autre chose pour vous aidez , je suis nouvelle et ..."

Mais ou son passée mes manières!
Je ne présente même pas , mais ou ai-je la tête ...

-"Je ... Désoler , je suis Kurumisawa Shibâ , mais eh ... Tous le monde m'appelle Kurumi ..."

Dans un premier temps , je la regarde dans les yeux et avant d'avoir finis ma phrase , je baisse la tête , ensuite , je prend mon sac et dit aussi vite que possible :

-"Bon , sur ce je vais aller en cours!"

Avec un sourire plutôt timide , mais , sa devait apraitre bisard que il n'y a même pas deux seconde , je dit que je ne connaît pas l'école et qu'ensuite je dise que je vais en cours , et ça , je ne le remarque que devant la porte d'entrer , je m'arrête devant , tous en fixant l'immensité de la porte , je baisse ma tête , fixant le sol , soudain un grand silence se fit ...
Après je me retournas vers la jeune femme et lui adresse la parole :

-"Excusez moi , vous voulez bien m'aider , si sa vous dérange je me débrouillerais seule..."

j'avais beau dire que je pourrais me débrouillée seule , mais si jamais elle refusais , je crois que jamais je ne trouverais la classe ou quoi que se soit ...

Aparament , elle s'appel Amu Hinamori , cela me dit toujours quelque chose mais enfin soit , elle vient de me demander mon numéro de classe , puis je fait une drôle de tête et dit :

-"Le...Le numéro de ma classe , je...Je doit avoir un papier ici..."

Je comence a fouiller dans mon sac , ne trouvant pas , je le pose à terre et cherche en retirant mes affaires , je doit l'avoir surement mit dans le fond du sac me connaisant , tous sort de mon sac : cahier , plumier , Gsm , Mp4 , mon déjeuner et d'autre babiole . après 3 minutes , je trouve enfin ce papier qui était dans le fond , je regarde et après quelques minutes , je sort cette phrase complètement débile :

-"Je trouve pas............"

Pourtant , c'est bien le papier que j'avais reçus a mon anniversaire comme quoi j'étais acceptée dans cette école ...

Mais je doit dire , qu'aujourd'hui , je parle bizarement moi qui d'habitude parle clairement , peut etre que je parle ainsi sous le coup de la pression , le stresse provoqué par ce changement d'école , ...

Bref , revenons a l'histoire de ce papier , je cherche encore et encore , sur le recto de la feuille et ne trouve toujours rien , je doit avoir l'air bien maline , je me demande vraiment ce que pense Amu de moi , peut etre une idiote mal polie ... Dans tous les cas , c'est ce que je pense de moi à l'instant , si mes parents me veraient , ils me tueraient surement ou me priveraient de piano pendant 1 mois *non , pas le piano T_T* ...

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Eh...Je savait pas quoi mettre , voilà pourquoi j'ai mit l'histoire du papier d'anniversaire xD

Je suis Amu dans les couloirs et les escaliers de l'académie , l'école est immensément grande et belle , surtout il a cette odeur de propreté qui flotte dans les airs , a mon avis l'équipe de nétoyage doit faire attention à ce détails , je ne voit même pas une seule toiles d'araignés dans les moindres recoins ou mon regard ce pose , je regarde le dos de Amu tous en la suivant , un moment , elle s'arrete devant une porte , il y a un petit pannaux avec écrit "1A" , elle frappe avant d'entrer , puis en entrant elle s'addresse au professeur qui se tiens devant le tableau , je l'écoute parler , puis elle me dit de ne plus me perdre , puis je m'incline prafondément , en me relevant , elle ferme la porte , en entendant les gens de la classe , je comprend qu'Amu est plutôt connue dans l'établissement , apret qu'elle soit sortie le prof m'addresse la parole , et me demande :

Prof-" alors , c'est toi la nouvelle..."

-"Eh...Oui..."

Prof-" alors veut-tu bien te présentée à tes camarades ?"

-"Oui "

Je me retourne vers les autres élèves et dit :

-"Je suis Kurumisawa Shibâ , enchantée"

Ensuite , le professeur m'indique une place pret de la fenêtre au fond , ou je me dirige pour m'assoir , je pose mon sac pret du banc et regarde par la fenêtre , j'aimerais re parler à Amu dans d'autre s'irconstence et puis je serais moins stressée...

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Pour me parler je suis dans la partie des classes de cours ;D