Elia courait sur la piste de course de l'académie. C'était le matin et elle avait des cours déducation physique jusqu'au zénith. D'abord de la course d'endurance, puis des travaux de musculation en équipe durant la deuxième partie de la matinée. Puisqu'elle était une niveau 6 susceptible de défendre la justice dans les temps à venir, le directeur lui avait collé ce programme intensif d'entraînement. Merci bien monsieur, encore heureux que la demoiselle puisse supporter sa propre chaleur corporelle sinon elle ne surpasserait pas tous les autres étudiants. Oui, même sans examen théorique, en tant qu'idole il fallait garder de bonnes notes.

Aujourd'hui, Elia arriva en retard à son cours suite à sa rencontre avec Amu Hinamori. Ça pouvait être normal un retard, mais elle était une adulte au-dessus de la vingtaine. Et ça, le professeur le savait très bien. Donc voilà, il ne fut pas content de la voir manquer le début entier de l'échauffement. Au point de lui coller une retenue pour rattrapper le temps perdu. L'esper n'en fut pas ravie. Non pas que la course l'emmerdait mais le fait de rester plus longtemps à l'académie avec un pervers qui aurait le loisir de relooker une femme en tenue de sport.

- Pardon ?

- Oh! Rien du tout, Genpei-sensei.

Un sourire puis elle entra dans le cours. Elle traversa son début de journée en repensant à la retenue. Sa soirée sera bien différente de l'horaire prévu. Pourtant, quand son groupe entra en salle de musculation, sa représentante de classe approche l'esper du feu avec une bonne nouvelle. Celle-ci avait convaincu le prof de passer l'éponge pour cette fois en évoquant la petite arrestion de la police sur le campus. Pas faux du tout, Elia avait oublié ce détail.

- En retour, je te demanderai qu'une seule faveur. Me jeune soeur est en 1-A et elle t'admire énormément. Tu lui ferais plaisir en allant faire un tour dans sa classe à la pause déjeuner.

- Quoi ?!

Un petit oubli dans son excuse au prof et voilà qu'elle devait jouer la visite surprise pour les plus jeunes étudiantes de l'Académie. Plus encore, elle devra manger son déjeuner en leur compagnie. Elia soupira avec le sourire. Évidemment qu'elle accepta la faveur de sa représentante de classe, surtout quand elle voyait sa soirée sauvée in extremis. Et quand midi sonna, Elia se changea en uniforme urbain et rejoignit la classe 1-A avec son bentô en main. Les classes étaient bien séparées entre les jeunes et les plus vieilles. En approchante de la classe, on remarqua sa présence plus mature. Le couloir devenait rouge pivoine et sonoriquement plus aigu. Elle entra dans la salle à la surprise générale.

- Gracieuseté d'Azuna Komatsu, me voilà pour la pause.

Très vite, une fille se sépara du lot pour venir enlacer la taille d'Elia en remerciant hystériquement sa grande soeur.

Toujours entrain de rêvasser , j'entend la porte de la classe s'ouvrire , la personnes qui venait d'entrer semblait s'adresser à une autre personne , mais je n'en prête pas plus d'attention , au moment ou je me retourne pour prendre mon sac , je put constater , que toutes la classe aient émerveillées devant une jeune femme qui est devant la porte , enlacée par une fille de la classe , puis , pourquoi pas , je ne souris pas du tous pour une fois et d'un coup , je prend mon sac et je sort mon bentô que ma mère à préparer spécialement pour moi hier , ce qui est asser rare , d'habitude , c'est plutôt le majord'homme qui l'apportait de la cuisine , ma mère n'était jamais là...

Enfin soit , je le regarde longtemps , ma mère avait fais dans le simple...Le plus simple des déjeuner qu'il puisse exister :

Salade d'avocats avec crevettes et surimi

Onigiri Surimi

Maki-sushi au cornichon aigre-doux

Tomates Cerises

Carottes

Sandwich Beurre de cacahuète et banane


je sais qu'elle n'as pas touchés à un couteau ou quoi depuis longtemps , mais elle aurait pu faire mieux...
Enfin soit , je goûte une boucher , de l'onigiri surimi et ferme la boite de mon bentô pou la posée sur le coin de mon bureau , non je n'aime pas du tous ...Donc si quelqu'un est preneur , il pourrait le prendre ...

Enfin , je sors un carnet avec des partition de piano , je me penche en arrière avec ma chaise , et le pose sur mes jambes qui son tendue et posée sur la petite bard en dessous de mon bureau , j'ouvre le livre vers le milieu et tombe sur la chanson "Mozart Piano , Sonata n°8" , je pose délicatement mes mains sur le livre , et m'imagine que c'est mon piano , donc je commence a faire comme si je jouait , la musique résonne dans ma tête , je connait très bien cette chanson , si bien que je fini par fermer les yeux ...

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Ps : heureusement , que j'ai regarder Nodame Cantabile , il n'y a pas longtemps , sinon je n'aurait pas fais la mini scène ou Kurumi joue sur son carnet xD
https://www.youtube.com/watch?v=BWeKHap58aQ
(Mozart Sonata N°8dans le manga , moi j'ai vu le drama , mais c'est la même chose)

Elia s'était fait surprendre par un calin extrême de la part d'une fille surexcitée par sa seule présence. Rapidement, elle l'identifia comme la petite soeur de sa représentante de classe. Qui d'autres auraient autant de courage et de détermination pour lui sauter dessus, elle une esper de feu ? D'un geste délicat et avec de l'embarras sur le visage, sa main repoussa l'étudiante collante. De toutes les personnes en admiration envers Elia et sa chevelure de feu, elle avait bel et bien trouvé une fan inconditionnée.

Celle-ci l'invita à prendre place et à entamer le déjeuner avec plus de décence et de calme. Ce midi, Elia mangeait du riz classique avec de la crevette tempura, de la Korokke, du Yakiniku, et des légumes. Le tout accompagné d'un seul Daifuku pour dessert. Beaucoup de friture et de calories pour un jeune corps soumis à l'effort physique intensive des cours de EP. Même que certaines filles furent jalouses de ce déjeuner. Ben quoi ? Elia est une femme de la classe riche, rien de surprenant à ça.

- D'ailleurs, il me faut adéquatemment nourrir mon feu intérieur particulier. Ne faites pas comme moi et manger toujours santé. Sinon, vous n'aurez pas de belles poitrines comme moi.

Cette dernière phrase fit réagir de surprise les filles de la classe avec du rouge au visage. Les garçons eux ricanèrent. . La classe s'anima un bon moment au grand plaisir d'Elia. Elle jeta un oeil à tous ces jeunes visages pleins de vitalité quand elle remarqua une fille se démarqueur avec aucune animosité. Elle ne s'intéressait pas à une esper de niveau 6 ? C'était surprenant en soi. Elia aurait pu la laisser tranquille mais comme l'étudiante ne mangeait pas son déjeuner comme les autres, il y eu un instant d'incertitude.

L'esper de leva de son siège et approcha par derrière la jeune fille en observant le carnet. Elle y voyait pleins de signes, des lignes courtes, des points noirs. Heureusement qu'elle reconnut la fameuse note de musique. Sa tête pencha par l'avant et sa main se posa doucement sur l'épaule de la fille pour surprendre la prisonnière de sa propre bulle. Soudainement, il y eut un instant de suspence, silence dans la classe.

- Je vois que tu es musicienne. Mais tu sais, il est plus important de se nourrir que de lire que de jouer du piano imaginaire.

J'étais fort bien concentrer sur ma partition et à un moment inatendu , une main se posat sur mon épaule , j'enlevas mes pied du banc et ouvris mes yeux , je posas ma main qui tramblais sur la main sur mon épaule , puis , je me retourne tous en retirant ma main , cette chaleur qui sors de cette femme dressée devant moi , je la regarde , et elle me dit qu'il faut manger au lieu de jouer du piano imaginaire , puis je dit :

-"Mais je n'aime pas ce que l'on ma préparer aujourd'hui ..."

Puis je dit à toutes la classe :

-"D'ailleur si quelqu'un veux mon déjeuner , je le donne avec plaisir"

Avec un petit souris chaleureux , ils font tous une drôle de tête , mais bon , puis je regarde la la jeune femme a mes côter et dit :

-"Puis-je savoir a qui j'ai affaire ?"

Tous la classe fit de grand yeux et j'entend tous le monde parler , c'est mal de demander à une personne son identitée ? Dans tous les cas j'entend toujours les filles que j'entendais tous à l'heure , les pas discretent , elles se disent :

-"Bah , la nouvelle ne la connait pas"

-"La dame de feu , comment sa va finir tous ça"

-"C'est exitant *rire*"

-"N'empèche que pas la connaitre , c'est pousser"

-"Hum..."

J'attend la réponse de "la dame de feu" , comme on dit ces deux filles...
Je n'y peux rien si je ne connais pas tous du monde et aussi si mes parents ne voulaient pas trop que je sortes , mais bon , passons ...

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c'est un peu court , mais je savais pas trop quoi mettre xD

- Mauvaise excuse, demoiselle.

Sauter le déjeuner, une nutrition fondamentale pour la pousse d'un si jeune corps féminin, n'était pas une réponse à la hauteur d'un esprit censé et sage. Cette fille ne se souciait aucunement de sa santé mais plutôt de ses envies et passion. En plus, elle l'offrit aux autres comme d'un objet encombrant que l'on souhaitait se débarrasser. Pour Elia, c'était énervant de voir ça. Sa main se retira de l'épaule frêle de l'étudiante et alla ouvrir le bento posé au bord du bureau. En découvrant la fraîcheur et la simplicité nutritive de repas "désagréable", l'esper eut envie de la réprimender.

Mais on était en milieu scolaire et c'était risqué de libérer ne serait-ce qu'une quantité minimale de chaleur via le corps en entier. Et puis, il y avait une méthode plus sage de règler le problème actuel. Elia alla chercher son beignet de pomme de terre frit et se mit doucement à arracher de petits morceaux qui tombèrent tous dans le plat de la musicienne. Entre-temps, elle entendit des bribes d'informations concernant cette personne: une nouvelle. Bah voilà, simple et clair explication. Bref, une moitié de sa Korokke finit mélangée avec la salade d'avocats et les onigiris.

- Quand j'étais petite, c'était la façon dont mon père me fit manger sans trop se forcer avec la morale. J'imagine qu'un peu de friture et de sucrée te fera changer d'avis.

Elia lui indiqua une place où se placer et commencer à manger avec le groupe d'étudiantes juste à côté.

- Dans toute la ville et l'académie, il n'y a que cinq espers de niveau 6 dont la force singulière peut raser une ville en même pas une dizaine de minutes. Moi, je pourrais incinérer l'Académie en quelques secondes si je le voulais. Je suis Elia Irihi, l'esper du feu.

Du ...Du sucre , roh la la , mon point faible , commen resister à ça , je fis un légé sourire , puis elle me dit son identité , une esper de niveau 6 *gloups* sa donne froid au dos , en plus , manier le feu , la petite esper niveau 1 que je suis ne pourrais rien faire fasse à Elia , je pris mes baguets et pris un petit morceau du bentô pour goûter , une fois le morceau en bouche je le déguste , et après 1 bonne minutes de réflexion je dis :

-"...Mmmh...Du sucre , merci eh...Elia =3"

Après une seconde bouchée , je continue en disans :

-"Moi , et bien...Je suis ...Une esper niveau 1...Je ne suis pas habituer à manger ce que ma mère me fais à manger , car d'habitude , c'est les femmes qui sont en cuisine qui le font...Puis d'habitude j'ai du chocolat au lait en plus , mais ma mère semble avoir oublié les collations..."

Peu après je dis avec un petit sourire :

-"Tant tôt , je jouais sur ma partition parce que mon piano me manque *rire* et mes doight commençaient à etre en manque aussi , sa va faire 2 jours que j'en ai plus jouer..."

Je continue a manger , a mon aise , et un moment je dit avec un drôle d'air :

-"Je crois vous avoir déjà vue quelque pars...a la Télévision ou je ne sais plus trop , serais-ce possible ?"

Puis je continue à manger , avec une oreille attentive...

Même pas 2 minutes plus tard , quelques filles de la classes se présentent à moi :

-"Salut , moi c'est Kitano Chihii"

-"Et moi , Maki Wakeshima"

-"*Tousse* Erika Toda =3"

Et encore d'autre et les garçons aussi se sont présenté , j'esperes retenir les noms , je prend un ton plutôt doux en disant :

-"Enchantée de vous connaitres"

Puis mes yeux s'arrete sur les deux qui sont pas discrete , elles , elles sont toujours dans le fond de la classe toujours entrint de parler de chose et d'autre , enfin je continue à manger ...

Une vraie petite fille gâtée, voilà ce comment voyait l'étudiante à la soudaine appétit revenue des limbes. Elia sympathisa donc avec cette drôle de fille . En la regardant manger à sa faim, la puissante esper sourit à la pensée que l'astuce de son propre père avait aussi bien fonctionnée. En la regardant toujours manger, elle se sentit étrangement comme dans la peau de son défunt parent tandis que l'étudiante serait... Elle tourna la tête et se remit aussi à table en dévorant son luxueux déjeuner.

Tout le monde reprit leurs conversations habituelles, l'ambiance redevint normale. La musicienne se confia à tout le monde en disant ne pas avoir l'habitude envers les repas de sa mère. C'était décevant à entendre, et les autres filles étaient du même avis que Dame Elia.

- Alors tu devras t'habituer à la bouffe maternelle, sinon je te fais cuire pour dîner. À commencez par ta tête.

Elia mangea avec une main tandis que l'autre vint frotter énergiquement le cuir chevelu de l'étuidante. Une taquinerie classique et ô combien agréable à voir chez la victime qui gigotte et fais de son mieux pour repousser l'envahisseur. Un humour adorable qui chauffe les coeurs. Ceux de trois filles les poussèrent à venir rencontrer la fanatique de chocolat pour devenir probablement des amies. Elia revint et frotta encore plus fort.

- Et alors ? Tu ne révèles pas encore ton nom ? Je n'ai pas envie de te nommer Mozarde ou bouffeuse de choco jusqu'à la fin de l'Académie.

Et quand elle remarqua les deux filles dans le fond, l'esper demanda:

- Pourquoi tu les regardes ? Elles ont faits quelque chose de mal ou quoi ?

Mon regard se dirigas vers Elia tous d'un coup et je dit :

-"Non , j'ai une drôle d'habitude de fixer les gens"

Je dis en rigolant , même si je s'avais que se n'étais pas vrai , puis je continue en me présentent :

-"Au fait , Désoler , je suis Kurumisawa Shibâ , mais , dans ma famille on dis Kurumi et eh...J'aurais du mal de m'habituer à la nouriture maternelle , c'est le seul plat que me mère ma préparer dans ma vie , elle n'étais jamais là d'ailleur , mon père n'étais jamais là non plus , il revenait tous deux tard le soir , et mon frère il travaillait aussi tard le soir , meintenant je vis seule dans un appart , c'est plus facile pour moi de me rendre à l'académie..."

Je continue à manger , puis je m'arrete :

-"Quand je pense que je vais m'occuper d'un appartement seule..."

C'est drôle et dire que il n'y a pas deux seconde la classe était fort agitée , meintenant sa sembles c'etre calmé , les garçons parlent de sport et les filles des peoples , un moment j'entend le nom "Akiko Harisawa" , je me lève et me dirige vers le groupe de fille qui on dis le nom et vois un magazine , je prends la parole et dit :

-"Je peux voir s'il vous plaits?"

l'une des filles me dit :

-"oui bien sur tu connais Akiko Harisawa ?"

je répond :

-"Oui , c'est ma Oka-San(maman) je veux voir juste se qu'il on écrit..."

Elles font toutes une drole de tête , je lis et puis dis :

-"c'est bon merci"

Je vais me r'assoir à ma place pour manger , toutes la classes me regardes bouche bée...

Elia se mit à rire à la bonne franquette en lâchant la tête de Shibâ-chan. Kurumisawa Shibâ, la musicienne. Elle avait de la chance d'avoir déjà une vocation potentielle vers où se tourner dans l'avanir. Et dire que la niveau 6 ne savait pas encore quoi faire de bien après les études sauf peut-être défendre la justice contre les espers ennemis. En fait, la question lui était particulièrement difficile.

Une sympathie plus intime se tissait doucement mais surement entre Elia et Shibâ. Une similitude entre ces deux filles les rendaient similaires sur leur vie quotidienne. Vivre seule en résidence, ne pas pouvoir compter sur ses proches pour leur trop longue absence. Certes, le père d'Elia était mort depuis des années et elle n'avait aucune grand frère, mais sa situation actuelle ne différait pas de la petite nouvelle. En parlant de famille, Shibâ-chan en révéla une bonne en révélant le nom complet de sa maman. Elia avait son Daifaku en bouche à cet instant. Elle resta avec son dessert collé aux lèvres en lançant un regard subjectivement enflammé.

- Hooo...t'es sérieuse ? J'adore la vigoureuse passion d'Akiko Harisawa dont elle imprègne ses films. Elle a cette flamme dans la poitrine que j'aime toujours voir, que ce soit chez une actrice ou chez un étudiant.

Elia termina son dessert en silence. La jeune adolescente fanatique de sa personne l'oublia en restant sous le coup la révélation également. Si ça continuait comme ça, elle n'aurait plus de raison de rester plus longtemps dans cette classe. Même si la classe est figée, le temps ne ralentissait pas une seconde.

- J'ai moi aussi une mère toujours retenue à son travail. Quand on se parle sur le portable, j'en profite le plus longtemps que possible. Shibâ-chan, tu dois également en profiter pour manger ton bento avec attention. Ce n'est pas grand chose mais, n'est-ce pas un repas empreint d'amour à ton égard ?

Et avant que les têtes tournèrent vers Elia, elle ajouta:

- Non, ma oka-san n'est pas une actrice elle aussi.

- Décidemment, on nous laisse plus le temps de relaxer dans les écoles. --"

Passer sa pause déjeuner en compagnie de ces jeunots n'étaient pas aussi ennuyeux que ça. Au contraire, Elia trouva cette rencontre à la fois positive et riche en rebondissement. C'était surtout grâce Shibâ et à son beau coeur. Elia réfléchit à sa journée jusque là. Après sa Taichou, elle avait sorti une autre personne de la solitude et redonné son feu intérieur. Le plus ironique dans son cas était son manque partiel d'émotions claires. Car depuis le début, elle s'exprima avec un petit sourire ni trop triste ni trop joyeux. Beaucoup plus de calme que d'éclat dans ses expressions. Sinon, c'était le résultat qui comptait et celui-ci était satisfaisant.

À la cloche, Elia reprit son bento vide et se leva pour repartir en classe. Elle et Shibâ-chan s'échangèrent un sourire, celui d'Elia était plus petit mais on pouvait voir ses dents blanches. Au même moment, le sensei entra dans la classe et remarqua la présence flamboyante de la jeune adulte. Elia conserva son sourire actuel et se tourna vers l'enseignant. Ce dernier était un ancien sensei de l'esper.

- Bonjour, sensei. J'espère que vous resterez sympathique avec ces gentilles personnes.

En passant à proximité, elle laissa échapper un délicat coup de chaleur donnant des sueurs froides à l'enseignement. Elle quitta la classe sans rien dire de plus.

(Je crois que ce topic est terminé)